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Samedi 19 septembre ?
Gilets jaunes, faute idées harmonieuses, violence & leaders insipides ont vidé les rues Faire mieux
Chantez : Samedi, c'est fini, et dire que c'étaient les seuls qui bougeaient
Samedi, c'est fini...
Chantez : samedi, c'est fini, et dire que c'étaient les seuls qui bougeaient
samedi, c'est fini, c'était devenu vraiment n'importe quoi... tintin
Je crois bien qu'ils reviendront un jour
Non non, j'arrête, je ne suis pas chanteur.
Et de toujours manière ma chanson ne va leur plaire, aux plus acharnés, pour qui non non, ce n'est pas fini.
Ceux qui crient le plus fort ou vocifèrent en cliquant sur j'aime pas, sont rarement les plus soucieux de l'intérêt général.
Pour M. Pradié, mon député, je précise que cela ne signifie pas l'intérêt des prétendus héritiers du général de Gaulle, désormais tous sous
la bannière Macron, sauf naturellement ceux qui attendent qu'on leur propose un ministère.
Et n'accusons pas Mme Buzyn, enfin le coronavirus contre lequel ministre de la santé elle n'a pas pris les mesures nécessaires en janvier ni février, d'être responsable de cette grippette, comme dirait M. Raoult, ou d'un effilochement, du mouvement des gilets jaunes.
Naturellement, les médias traditionnels, les subventionnés du pouvoir, ont su mettre à la une des leaders insipides.
Je ne vais quand même pas reprendre leurs noms et leurs grandes idées, Monsieur Bigard s'en chargera.
Des leaders qu'on pu croire sortis de la CGT ou du Parti Communistes, disons des années 1970.
Et des revendications qui on tourné en rond, comme le RIC, comme si on ne savait pas que les référendums seraient la porte ouverte au tout ou n'importe quoi.
Mais ça évite d'aborder la confiscation de la démocratie.
Je l'ai déjà dit mais dans pour une audience tellement dérisoire, on peut sourire de la demande de "plus de démocratie directe et participative" quand on voit le législateur tranquillement supprimer des pans de la démocratie, comme dans les petites communes de 1000 à 2000 habitants, qui se sont le plus souvent retrouvées en mars avec une seule liste aux municipales.
Et les élections départementales comme régionales seront l'occasion pour les installés de conserver leurs sièges.
Même les alternances sont devenues un simple jeu de chaises musicales entre personne qui de toute manière appartiennent au cercle des inféodés aux grandes fortunes.
Faute d'idées harmonieuses, la violence et des leaders insipides ont donc vidé les manifestations.
Peut-on faire mieux ? Ce mouvement pourrait-il renaître autrement, dans une optique de l'être plutôt que de l'avoir ?
J'en doute. Je le répète régulièrement sans être surpris de l'absence d'echo.
Page de la série Gilets jaunes. la page du versant politique.
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