C'est un fait, une évidence. Faut-il abdiquer, s'agenouiller, rejoindre les grandes écuries ?
Malheureusement, comme les moutons de la couverture du "roman de la révolution numérique" lectrices et lecteurs suivent encore les recommandations des chroniqueurs liés aux grands groupes de l'édition...

Ainsi "le roman de la révolution numérique" est devenu "Le roman invisible" avec une préface sur notre monde de l'édition dont une édifiante interview de Philippe Sollers sur la méthode de contrôle des médias par ces grands groupes qu'il ne faudrait plus appeler éditeurs... Mais également Eric Naulleau, Alain Beuve-Méry, Jérôme Garcin... Ainsi, 25 000 points de vente contrôlés, où la profession libérale auteur-éditeur ne peut décemment réussir à présenter ses livres.

Pourtant "Le roman invisible" et "Le roman de la révolution numérique" existent en papier et numérique...
http://www.romancier.org/ecrivain16.html
Une seule possibilité pour un vrai démarrage de ce sixième roman : VOUS. Vous les abonnés aux listes de mes sites.
Ici celle du catalogue.

Une lectrice ou un lecteur abonné(e) à une liste catalogue est intéressé(e) par mes livres, logiquement...

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- Commentaire (58), du 12 février 2014 vers 15 heures 15
C'est ce que déclare expressément Aristote, page 633 de l'édition du Louvre C'est ce qui fit qu'orcan la retint, et me chassa de sa maison

- Avis (63), du 5 février 2014 à 3 Heures 20
Je demande très humblement pardon à Votre Excellence, répondit David encore plus poliment, car la chute de l'homme et la malédiction entraient nécessairement dans le meilleur des mondes possibles Je elle apprendrai, dit le docteur, les huit parties d'oraison, la dialectique, l'astrologie, la démonomanie, ce que c'est que la substance et l'accident, l'abstrait et le concret, les monades et l'harmonie préétablie