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Chapitre 10 de "Montcuq, troublant"
Un salon du livre à Montcuq-en-Quercy-Blanc !
L’un des plus copieux chapitre de ce témoignage. Trois éditions quand même, alors qu’une commune culturelle aurait su saisir l’opportunité de préparer sa vingtième. Je vais donc vous causer de deux décennies de tentatives et d’une petite réussite significative de l’impossibilité culturelle réelle.
Même en considérant essentielle l’implication des auteurs éditeurs indépendants dans l’organisation des salons du livre, le projet m’apparut irréalisable, dans ce trou culturel. Le 25 juillet 2002, dans son bureau de maire, j’avais présenté le concept à Daniel Maury. Je croyais qu’un homme noté « de gauche » devrait être réceptif. J’avais certes déjà des doutes, commençant à intégrer le sens de « la gauche cassoulet », du radicalisme (rappel : arrivé en 1996). Le soutien d’une municipalité me semblait indispensable et ma petite commune pas de taille à une telle organisation. Il ne m’avait pas répondu non. Mais sans enthousiasme. Mes détails écrits, rapidement fournis, il n’y a jamais répondu.
Des âmes soumises, dans un style de confidence, m’avaient informé de mon erreur, du fonctionnement local : il convenait de d’abord créer une association avec le grand homme en président d’honneur et quelques inféodés aux manettes. Il ne pouvait pas me confier un tel projet, cela demande des années de preuves de soumission.
Quelques mois plus tard, la bibliothèque « communautaire » sortait de terre, enfin de l’ancienne halle à grains. J’étais persuadé qu’elle reprendrait mon idée, mon exposé. Mais non, ces gens-là se sont limités à l’invitation de quelques auteurs. Naturellement, oui, naturellement, aucun de mes livres n’y fut acheté.
Début 2016, avec des "voisins" également peu enthousiasmés par la disparition de notre petite commune, je lançais l’idée d’une association, pour faire des choses. L’aventure débutait certes sur de mauvais rails : aucune confiance en eux. Surtout le militant communiste / syndicaliste CGT duquel je m’étais toujours tenu éloigné. Mais sa nouvelle compagne était arrivée… en même temps que mon épouse. Oui, quelques bribes de vie privée sont nécessaire pour comprendre cet enchaînement, pourquoi j’ai pu côtoyer ce quatuor. Un mariage catastrophique, signé à Cocody, Abidjan, Côte d’Ivoire. Je n’ajouterai rien à ce catastrophique, rien qui ne fut publiquement constaté lors de la première édition du salon du livre, l’association « Montcuq en Quercy Blanc première » scindée en deux, moi seul tentant de faire pour le mieux, et les cinq autres, les deux couples et cette épouse (expression administrative appropriée mais toujours pénible à écrire, tellement éloignée du « véritable Amour ») qui s’étaient finalement, quand même, occupés du repas, peut-être car je les avais prétendus avoir transféré au maire (ce qui était vrai) et à madame la préfète (je n’avais pas voulu l’embêter avec cet épiphénomène même si les tensions lui étaient connues) le mail où « la trésorière » m’affirmait qu’ils s’occuperaient du repas comme prévu. Je vous passe les péripéties. La plus préjudiciable : l’absence de signalétique, conséquence de mon impossibilité d’accéder aux comptes de l’association. Ils étaient cinq contre un.
Ce salon du livre, il s’agissait, selon mon analyse, d’une opportunité unique à ne pas rater, en 2016 : face aux tensions de la fusion, une opposition frontale à une initiative culturelle ne pouvait se concevoir. Malheureusement, mon isolement local était tel qu’il me fallut prendre le risque de frayer avec des êtres disons dans une autre voie. Mon petit secret d’alors : avoir demandé à madame la préfète si elle soutiendrait ce salon. Dans la mesure de ses moyens. Elle avait compris la sincérité de ma démarche littéraire…
Daniel Maury pouvait s’en retourner dans ses cendres, sa veuve conseillère départementale maudire son cousin mais le 14 août 2016, madame la Préfète du Lot inaugurait le premier salon du livre de Montcuq-en-Quercy-Blanc. À mes côtés sur la scène, avec M. Marc Gastal, élu du canton représentant le président du département. M. Alain Lalabarde, « le cousin », maire de la commune nouvelle. Ma petite caméra, tenue par une néophyte en la matière, réussissant une remarquable prestation, permettait d’obtenir plus de vues sur les discours que de visiteurs constatés.
La vidéo témoigne encore de Mme Catherine Ferrier déclarant « C'est ça la France, c'est la liberté d'expression, de pensée... C'est une magnifique démarche citoyenne ; en tant que représentant de l'état, je dis que le livre est indispensable… les dictateurs quand ils arrivent au pouvoir brûlent les bibliothèques, il suffit de se souvenir de ça, le livre émancipe, le livre fait grandir, le livre incite à réfléchir, à comprendre… Battons-nous pour cette liberté d'expression, (et se tournant vers moi) continuez d'aller de l'avant, je vous soutiendrai avec mes moyens modestes... »
En 2020, monsieur Lalabarde y voyait peut-être une revanche en offrant à monsieur Quet de la Vie Quercynoise une ode au « sans réfléchir. » La liberté d’expression n’avait plus aucune tribune de papier. Ou il ne se souvenait même pas ? S’appliquant la sentence : sans réfléchir suivre sa cousine ?
Lors de ce premier salon du livre, M. Jean-Claude Bonnemère en personne fit le déplacement. Peut-être car son correspondant de presse local se sentait mal à l’aise ? En plus, il pouvait fournir un certificat d’occupation ailleurs, le repas champêtre de St Daunès. JCB voulait-il y être pour une autre raison, la possibilité d’un clash. Car si j’avais été tel que certains semblent m’avoir décrit, tel que JCB devait le penser, madame la préfète s’aventurait devant de grands soucis ! Il est vrai qu'ils sont rares les salons dans notre département à être inaugurés par la ou le représentant de l'état. Le jeudi suivant, la Vie Quercynoise publia un retentissant « le « miracle » de Montcuq avec le maire, l'écrivain et la préfète. » Miracle entre guillemets quand même.
Mais venant d'un hebdomadaire aux racines chrétiennes, il fallait oser. Si l'on ne devait retenir qu'un titre, ce serait celui-là. En quelques mots indigne monsieur Bonnemère démontrait néanmoins toute la splendeur de son état.
En 2017, grâce à Claude Robin, le seul de la commune à s’être impliqué, une nouvelle association était créée et la deuxième édition pouvait même se dérouler en extérieur. Pour ce dimanche 13 août 2017 des exégètes de Nostradamus avaient lu dans ses prédictions la destruction de Paris, et ma vidéo de rapprochement des deux événements permettait d’obtenir une médiatisation naturellement toujours absente de leur dépêche du midi. Ce dimanche 13 août 2017, contact lotois, le magazine trimestriel dit d’information du département du Lot, répertoriait dans son agenda un unique événement : le « vide-greniers (équidés du Quercy) de Saint-Médard. »
Pour la première fois j’explique ce qui fut, peut-être, l’élément déclencheur : après l’invitation sans réponse, Monsieur Serge Rigal a reçu quelques mails teintés d’ironie, sur ce sujet, ce traitement des événements… et quelques heures avant le salon du livre, Alain Lalabarde en personne me demandait comment j’avais "réussi ce coup" : Rigal 1er lui-même se déplacerait ! Même les prudents osèrent avancer que cela ne pouvait guère être par amour de la littérature !
Serge Rigal fut maire de Saint-Médard 6 ans et 28 jours, du 21 mars 2008 au 18 avril 2014, date où Gérard Miquel lui a confié les soins d’essayer de conserver au clan le fauteuil départemental. Même leur dépêche relata l’événement dans cette optique, le choix d’un candidat de succession par le PS, donc par Miquel, choix validé par l’union PS+Divers Gauche ou le PS était majoritaire, puis validé par l’union PS-Divers Gauche + RPG où le PS-Divers Gauche se retrouvait majoritaire. Où comment en partant d’un noyau très minoritaire, on forme une majorité.
« Ou alors l’histoire retiendra, Monsieur Serge Rigal, que vous avez préféré la pluie du vide-greniers de Saint-Médard au soleil du salon du livre de… » Un truc de ce genre, avec une couche de Nostradamus. J’ai encore les termes exacts de ma bafouille sur un disque dur externe mais ce document ne nécessite pas des heures de recherches pour un épiphénomène.
Serge Rigal est arrivé avec Marc Gastal, toujours conseiller départemental du canton. Nous sommes allés les accueillir Boulevard Chapou, avec le maire et M. Jean-Claude Bessou, Président de la communauté de communes, qui ne s’était pas caché de venir car « le président venait » (même s’il avait perdu sa vice-présidence, il restait conseiller général). C’est alors que, sûrement pour marquer les esprits, les cloches se sont mises à sonner. Deuxième miracle de Montcuq !
Serge Rigal confirmait publiquement la rancœur de Maryse Maury, tout comme Marc Gastal nous gratifiant de ses talents de mime pour expliquer la nécessité d’être deux à signer, les deux élus du canton, pour les subventions départementales. Fait peut-être unique : un salon du livre inauguré par le président du département mais non subventionné par le département !
J’ai crû comprendre le mécontentement d’Alain Lalabarde sur l’aveu public de l’état d’esprit de sa cousine. Certes, les « médias traditionnels » ne s’en feraient pas l’écho… Sauf adroitement Le Petit Journal… Et la vidéo témoigne.
Une nouvelle fois, je remerciais Monsieur le maire et forcément, ensuite, il se trouvait entraîné à se réjouir de cette initiative culturelle. Je n’ai jamais crû en sa sincérité. La suite ne constituerait donc pas une surprise…
Madame Catherine Ferrier était absente. Il aurait été surprenant qu’elle vienne deux années de suite. J’ai d’ailleurs senti du côté de Figeac une certaine irritation : ils ont leur Martin Malvy mais n’ont pu obtenir qu’un sous-préfet et jamais le président du département ! Eh oui, l’ego entre organisateurs ! D’ailleurs, ès écrivain, plus d’invitation à Figeac !
Madame Catherine Ferrier était en vacances, dates décidées au niveau de la région, du préfet de région. Elle me rassurait : M. Marc Makhlouf, sous-Préfet de l'arrondissement de Cahors et Secrétaire Général de la Préfecture, la représenterait.
Mais patatras, le Président Emmanuel Macron s’en mêlait : Madame Catherine Ferrier était nommée dans le Cher et son successeur arriverait début septembre. M. Marc Makhlouf se retrouvait à gérer la transition. Et le vendredi, son secrétariat me confirmait la conséquence pressentie, son absence, oui, compréhensible.
En 2018, la troisième édition de ce salon du livre était forcément la dernière. Claude et moi le savions. La couverture du troisième livre contenait certes des symboles personnels mais les vitraux brisés ne laissaient aucun doute. Nous "comptions les points" en nous demandant jusqu’où la mairie nous mettrait des bâtons dans les roues.
Début juillet, nous avions récupéré les banderoles. Oui, le maire nous avait confirmé son accord pour leur mise en place par la mairie mais non, ce n’était plus possible, les employés municipaux n’étaient plus autorisés à utiliser une échelle pour ce genre de gymnastique, il fallait louer une nacelle… Donc, pas de banderole recto / verso, sûrement la plus belle de l’histoire de Montcuq, au centre, presque devant le Crédit Agricole nous ayant octroyé 400 euros. En guise d’apéro offert par la mairie, enchantement des auteurs en 2016 et 2017, nous récupérions des sous-produits Casino…
« Une tour de livres plus haute que l’historique du douzième siècle. » Ma créative au service de la culture n’intéresse pas dans cette petite maurytanie.
Il y eut pourtant un "troisième miracle de Montcuq" : la signature de Mme Maury Maryse pour le financement par le département du salon ! Certes, ce serait le strict minimum, 150 euros.
Le jour J, monsieur le député Pradié, pourtant le premier à avoir confirmé sa venue, manquait à l’inauguration, tout comme le conseiller départemental Gastal, m’ayant pourtant affirmé en début d’année, lors d’une interview vidéo, qu’il ne manquerait pas cette troisième édition, et le maire était parti au Portugal, sûrement avec la certitude d’un grand plouf lors de la cérémonie des discours où je devais donc me retrouver uniquement avec sa représentante, la dame Sabel.
Messieurs Pradié et Lalabarde ont suffisamment montré leur entente pour qu’on puisse imaginer un amical conseil du maire encourageant le député à éviter "cette galère ". M. Gastal reste le colistier de Mme Maury. Mais personne, chez ces notables, ne semblait avoir prévu que sans en référer à la mairie, Mme Huguette Tiegna, députée du Lot, de l’autre circonscription, nous accorderait sa première visite dans la commune où elle rivaliserait d’élégance avec M. Marc Makhlouf, toujours sous-préfet de l'arrondissement de Cahors et Secrétaire Général de la Préfecture, qui représentait M. Jérôme Filippini, Préfet du Lot, m’ayant informé séjourner hors département.
Le dimanche 12 août, 2018, M. Didier Quet venait nous rejoindre, quand j'accueillais M. le Secrétaire Général de la Préfecture. Il constatait ainsi l'absence de la première adjointe. Quelques instants plus tard, j'accueillerai Mme la députée du Lot. Sauf erreur ou omission, M. Didier Quet n'a pas informé les lectrices et lecteurs de la Vie Quercynoise de ce qui s'est passé ce jour-là. Quelle déontologie ! Des vidéos témoignent.
Marc Makhlouf : « Cette manifestation d'aujourd'hui, malgré toute les difficultés dont vous avez fait état, est une belle manifestation, elle participe de l'attractivité de notre département...
Cette manifestation il faut qu'elle perdure, il faut qu'elle dure, il faut qu'elle se renouvelle, c'est l'ouverture vers les autres, c'est donner l'occasion à des écrivains de se retrouver face aux lecteurs...
Cette manifestation elle doit perdurer, je ne sais pas ce que l'on pourrait trouver comme financement de par ce que pourrait trouver la drac mais on va examiner la chose avec vous...
L'État est à vos côtés... »
On se souviendra que quelques instants plus tôt, l'animosité de Mme Sabel avait giclé au point qu'elle n'avait même pas remercié de leur venue les officiels : « En tant qu'élus nous ne pouvons pas accepter la polémique et surtout quand ça va jusqu'à certaines insultes [mon geste souriant de dénégation] donc euh certains ou les critiques systématiques sur les élus donc les élus n'ont pas voulu donner de subventions... La démocratie c'est quand il y a une majorité et tout le monde s'incline sur la majorité (la venue du président de notre communauté de communes, M. Jean-Claude Bessou, fut très symbolique mais il s’éclipsa avant les discours) Peut-être que l'année prochaine si vous vous comportez d'une façon différente, dans vos paroles surtout. »
Peu après 17 heures, M. Aurélien Pradié m'envoyait un SMS pour s'excuser de son absence. Il avait été retenu par les festivités dans sa commune de Labastide-Murat.
Nabilla également était absente. Mais Aurélien Pradié dans son SMS ne prétendait pas avoir été retenu par Nabilla Benattia. Néanmoins, Nabilla et Aurélien resteront associés à cette dernière édition, dans la rubrique du "ils auraient pu venir".
En 2017, Rocamadour étant allé jusqu'à proclamer Patrick de Carolis invité d'honneur de son Salon du livre, se déroulant certes à "la Truffière"... L'année précédente, Pierre Bellemare était l'invité d'honneur du 1er salon du livre de Souillac... La question de savoir si un people était nécessaire se posait. Un nom qui rime, clashe, pourrait déchaîner les passions, et même susciter des frémissements dans la plume de la correspondante de leur Dépêche, du Midi. Et même agiter, faire vibrer, se déplacer l'intelligentsia locale, régionale... Peut-être même notre bibliothécaire, peut-être même madame Maury et ses amies...
Je précisais « Je sais, il est toujours périlleux de citer des noms inconnus au-delà... d'un certain périmètre... Mais jusqu'où va le périnée, le périmètre, de Montcuq ? »
Je vous parle d'une vidéo du 13 novembre 2017 : « Et soudain... Jef... après le sixième verre, oui il fallait bien ça, il a jailli de mes lèvres ce nom, ce prénom, ce fut une éclosion, une érection, oups une, une évidence : Nabilla.
Nabilla, invitée d'honneur du troisième salon du livre de Montcuq en Quercy Blanc. Info ou intox ? »
Tout cela car j'avais constaté, oh tristesse de notre époque, que la vidéo la plus regardée parmi celles d'une requête "salon du livre" sur youtube était celle de Nabilla, au salon du livre de Paris. Alors, un an après Nostradamus, broder sur Nabilla s’était imposé. Ce fut un plouf, un bide, l’indifférence. Mais c’est entré dans la petite histoire de mes clowneries !
Parfois les « correcteurs automatiques » offrent de petites perles, le « je serai repenser l’année prochaine » d’Aurélien Pradié pouvant être classé dans cette rubrique.
Ce dimanche-là, selon des indiscrétions, la nièce de Lalabarde, pas du côté Maury, se serait inquiétée, considérant que la diva jouait trop bien son rôle en se prétendant coincée dans les toilettes. « Vite monsieur le député, Ternoise vous attend. » Et derrière la porte, le conseil municipal, en intégralité, essayait, chacun son tour, et constatait le blocage. Finalement, les WC de Murat étaient fermées de l’intérieur. Ainsi la légende de Labastide y gagna une nouvelle histoire que le soir même la disciple racontait à son parrain.
Pendant ce temps-là, je ne considérais pas nécessaire de répondre rapidement. Le lendemain
La municipalité nous facturait une location de salle où se déroula le samedi l’échange littéraire ainsi que la location des tables et bancs, tout en s’appropriant les kakémonos. Oui, dans la mesquinerie, ils pouvaient difficilement faire pire. Bien sûr, localement, même en 2021, Internet reste marginal ! Et quand « on a les médias avec soi… »
Il en restera trois livres. Bien plus que des « catalogues », avec des interviews des auteurs et « autres curiosités. » Le nom de l’auteur, Stéphane Ternoise, Stéphane Terdream puis Anonyme lotois, témoigne également de mes périodes… Naturellement, des livres non acquis par la bibliothèque ni la mairie. Tout comme les œuvres des invités…
La pathétique Jocelyne Mathieu aura eu dans ce salon un rôle à sa dimension : apporter au conseil municipal la décision « la subvention Salon du livre est supprimée » avec ce mensonge de m’attribuer « des propos injurieux envers les élus de la commune. » PV Conseil Municipal du 9 avril 2019. Oui, pathétique, il s’agit même d’un euphémisme. Il suffit de se souvenir de sa prestation lors de sa première grande déclaration publique d’intronisée au poste de troisième adjointe.
Vous venez de lire ou écouter un chapitre. Vous pouvez en faire de même page : édito Montcuq Troublant.
Page de la série Montcuq. Cette page est issue de MONTCUQ TROUBLANT 2021.
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